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Résumé :
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Comme l'avait bien compris le bienheureux John-Henry Newman, la relation de dépendance filiale à Dieu confère une connotation spéciale à la compréhension de la notion de liberté dans l’Église. Une telle conception irrigue de sa sève les normes du droit ecclésial. Le présent article examine, à titre d'exemples, quelques dispositions du Code de droit canonique de 1983 qui sont autant de règles de la "grammaire" catholique de la liberté dans les rapports entre obéissance chrétienne et liberté dans les rapports entre fidèles et Pasteurs (canon 212), la juste liberté de recherche et d'expression dans les sciences sacrées (canon 218), la protection du libre choix de l'état de vie (canon 219).
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