Résumé :
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Lorsque la passion passe au premier plan de la scène analytique, elle tend à brouiller les frontières entre l'idéalisation et la sublimation. Comment, dès lors, dans ces contextes où la problématique de l'idéal devient centrale au sein de la cure, tenter de dégager un ou de processus sublimatoire(s) ? Si la sublimation reste un changement de but sexuel, elle interroge la manière d'y parvenir à partir du détour par l'objet, par sa rencontre comme par son deuil. C'est à ce paradoxe la cure de Julien, entre idéalisation et haine de l'objet.
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