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Résumé :
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Les démarches pour demander et préparer un sacrement se révèlent souvent insurmontables pour les plus pauvres. Les propositions paroissiales ne sont le plus souvent pas adaptées. Fort de son expérience de diacre et de membre du mouvement ATD Quart Monde, l’auteur insiste dans cet article sur l’importance d’une proximité réelle avec ces personnes, avec ces familles, pour célébrer le baptême, le mariage ou d’autres événements. Où l’on découvre la richesse de ces rencontres, de ces partages d’Évangile et de ces célébrations, fraternelles au sens propre, dont les fruits rejaillissent sur les familles riches ou pauvres.
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