Résumé :
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Si l'affect est un signe de représentation non encore advenu, est-ce que l'on pourrait dire que dans l'analyse, la vérité est une représentation-but ? La vérité serait-elle dans la cure un moyen ou bien constituerait-elle un objectif, fruit de la relation transférentielle ? Ou les deux à la fois ? Quant à l'affect, transféré sur l'analyste, peut-on le voir à l'instar du rêve et des symptômes comme la voie royale qui mène directement à la vérité, à la réalité psychique ? L'affect est-elle fiable ?
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