Résumé :
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L’essai propose une réflexion sur la relation entre la paix et la beauté, en particulier la beauté artistique. En effet, partant de l’hypothèse que la beauté a une dimension politique, l’effet bénéfique et pacificateur de l’art est éclairé par la traversée de trois étapes : le récit d’une expérience concrète, à partir d’un dessin d’un enfant réfugié ukrainien et développé dans un atelier d’art ; le commentaire d’une œuvre d’art (Pablo Picasso, La Paix) ; enfin, une brève réflexion pastorale conclusive qui découle de la reconnaissance de la fonction thérapeutique de l’art et de sa dimension de rêve et de prophétie.
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